Depuis le lancement de notre formation rush en communication de crise en septembre dernier (3 heures 30 uniquement), nous vous proposons un essentiel de ce que nous avons retenu des participants. Quatre sessions ont eu lieu dans trois secteurs d'activités différents : secteur bancaire, agro-alimentaire et industrie regroupant de 6 à 9 personnes, essentiellement des Codir pour faire simple. Les thèmes sont bien souvent récurrents et nous vous proposons aujourd'hui notre première petite leçon (qui sera suivi par d'autres !)...
#1 Première leçon : les flux d'informations. A chaque fois que nous avons terminé nos animations, la constante chez les participants en situation de communication de crise est de maîtriser, ou à défaut, essayer de maîtriser, les flux d'informations. L'appréhension majeure est de se retrouver en cellule de crise, aveugles et sans avoir de remontées d'informations précises, en temps réel et vérifiées. Ce qui implique en temps normal de tester fréquemment les systèmes techniques de partage d'information (téléphone, réseaux, radios, etc.). Mais surtout d'identifier dans les organisations éclatées et dispersées des relais d'informations (responsables de site, correspondant com, etc.) qui seront sur le terrain, au plus près de la situation. La captation du "renseignement" comme disent les militaires, est fondamentale pour comprendre la situation. Cette remontée d'informations se double évidemment d'une diffusion d'informations afin d'informer les capteurs des décisions prises en cellule de crise. Ces flux montants et descendants sont la colonne vertébrale de la cellule de crise. C'est là que se mesure la pertinence des systèmes d'informations jusqu'à l'usage de toutes les techniques aujourd'hui mises au service des entreprises.
#1 L'anecdote. Nous nous souviendrons de ce directeur des ressources humaines qui a fait de la réalisation de l'annuaire téléphonique de crise son cheval de bataille... Les obstacles ne sont pas là où on les attend...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire